Archives de Catégorie: Indignés

Plantu : retraite

Le grand dessinateur de presse, Plantu, s’apprête à plancher sur d’autres projets alors qu’après avoir publié son premier dessin le 2 octobre 1972, il a passé aujourd’hui sa dernière journée au journal Le Monde et y a publié sa dernière caricature. C’est un collectif de dessinateurs de presse qui verront leurs dessins publiés dans Le Monde à partir de demain.

Plantu et Kichka à Montréal lors de leur atelier Atelier Dessinateurs pour la Paix en 2009

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/03/31/plantu-un-regard-sur-le-monde_6075045_3232.html

Dessins pour la PAIX – Cartooning for Peace


Désolée Cendrillon

Le prince charmant n’existe pas

 

désolée cendrillon

Désolée Cendrillon, le prince charmant n’existe pas

Un roman féministe amie des hommes de France Bourbeau paru aux éditions Essor-Livres.

A travers toutes sortes de situations vécues par les femmes, ce roman peint la vie d’une femme qui, à travers les épreuves de sa vie, prend conscience de sa situation de victime. On a beau vouloir aimer les hommes, leur faire l’amour, la situation est branleuse.

De page en page, de chapitre en chapitre, cette lecture autant que son écriture tel que l’avoue l’auteure de Charlesbourg mène une réflexion profonde sur la place que la société masculiniste à l’extrême octroie aux femmes. Finalement, on a eu beau faire la libération des femmes il y a 50 ans, cela s’est encore retourné contre nous au profit des hommes désespérément escalavagistes à double face.

Et je le sais par expérience personnelle, en tant que femme on a beau travailler pendant des années à créer quelque chose qui nous ressemble, ils vont toujours se mettre en travers de notre route si c’est bien et si cela nous fait du bien, et ils vont surtout s’en emparer et y apposer leur signature pour en profiter et ne rien nous laisser si notre création peut leur rapporter quoi que ce soit.

Désolée Cendrillon, le prince charmant n’existe pas.

 


Jacqueline Sauvage

Samedi, le 6 octobre 2018, il y aura une grande manifestation à Paris contre les violences faites aux femmes à la suite de la sortie d’un film dans lequel Muriel Robin personnifie Jacqueline Sauvage, une femme qui a subi les coups de pied et les coups de poing de son mari pendant 47 ans et qui un jour l’a tué parce qu’il fallait que ça s’arrête. Le film sera télédiffusé en France, on espère que TV5 permettra au Monde de le voir aussi.

Car le sujet est mondial, les violences faites aux femmes sont partout et de tous ordres : violences physiques, psychologiques, économiques… Dans le milieu du travail, un homme s’imagine encore trop souvent qu’une femme doit coucher avec lui si elle veut un emploi ou une accréditation journalistique.

Car le sujet est ignoré par les autorités qui ne reconnaissent pas que le même homme peut être super sympa avec ses potes, avec les voisins, avec la famille mais être tout autre avec sa femme ou avec les femmes.

Car les femmes sont infiniment isolées dans leur honte de n’avoir pas eu le boulot qu’elle méritait beaucoup plus que souvent l’ignare parachuté incompétent de deuxième ou de dernier choix qui a eu le poste ou que le petit nouveau lèche-bottes qui a reçu l’accréditation juste pour lui montrer à cette femme que la prochaine fois elle n’aura qu’à honorer cet attribut qu’il vénère tant.

Car les gouvernements sont toujours beaucoup plus préoccupés à offrir aux riches et aux puissants, tout en affichant par le fait même leur lâcheté vis-à-vis des personnes qui auraient besoin réellement des budgets dont ils disposent grassement aux amis qui sont en mesure de leur remplir les coffres pour la prochaine campagne électorale.

Bravo à Muriel Robin pour sa prise de position dans cette affaire.

Signez la pétition : change.org/sauvonsles

https://www.change.org/p/sauvons-celles-qui-sont-encore-vivantes
Vous pouvez signer anonymement si vous avez peur des représailles !


De la proche aidance à la bienveillance

proche aidance

De la proche aidance à la bienveillance – Témoignages et plaidoyer

Témoignages et plaidoyer

Marguerite Blais et Rosette Pipar nous présentent leur ouvrage sur la situation au Québec en matière de proche aidance.

Préfacé par Chloé Sainte-Marie, De la proche aidance à la bienveillance – Témoignages et plaidoyer contient les paroles du coeur et de l’âme de 23 personnes qui y racontent leur vécu et leur histoire de proche aidant.

Le livre pose de nombreuses questions et dénonce de nombreux faits par des réponses et des exemples pris dans la vie de tous les jours au Québec. On y trouve aussi de l’information sur les organismes qui ont pour mission de protéger les patients ou les proches aidants.

Cesser de se boucher le nez d’un air pédant
C’est sûr que dans un monde de faux où les politiciens suivent l’argent, il n’y a pas de place pour une femme de 93 ans qui vit seule et que l’on croise au supermarché avec dans son panier des plats tout préparés pour une facture de 100$ et qui voudrait bien que quelqu’un vienne lui donner un bain de temps en temps. Il serait bon de cesser de se boucher le nez d’un air pédant tout en acceptant gracieusement avec un large sourire des immeubles donnés par le gouvernement pour l’amusement des plus riches et des plus organisés.

EXTRAITS / CITATIONS

Dans les hôpitaux, ceretains administrateurs ou préposés pensent que telle personne est trop vieille et qu’il n’est pas utile de s’en occuper. Ils préfèrent s’occuper des plus jeunes et délaissent les vieux. C’est vraiment triste et honteux. (p. 39)

En 2007, il y a eu un plan déposé par le Dr Howard Bergman pour contrer la maladie d’Alzheimer. Très peu d’idées ont été retenues. On a demandé à un expert de McGill de faire le suivi et depuis lors, aucune action n’a réellement été entreprise.
On est bon pour demander des études. (p. 70)

De la proche aidance à la bienveillance – Témoignages et plaidoyer  a été écrit en collaboration par Marguerite Blais et Rosette Pipar, publié chez Marcel Broquet, La nouvelle édition.
Avec Soeur Angèle, Lucy Barylak, Olivier Beauchet, Marguerite Blais, Paul Brunet, André Chagnon, Chanez Djeffal, Alain Gaudreault, Josée Legault, David Lussier, Isabelle Maréchal, Laurent McCutcheon, Monique Nadeau, Marina Orsini, Mathew Pearce, Mélanie Perroux, Nathalie Richard, Caroline Sauriol, Chloé Sainte-Marie, Mark Stolow, Mario Tardif, Robert Tremblay et Sylvie Turcotte.

http://www.marcelbroquet.com/


TUEURS EN SÉRIE

Dans la tête des meurtriers les plus monstrueux

Un meurtre de femme sur trois, c’est le conjoint ou l’ex qui est le meurtrier en France ; souvent on enseigne aux filles que si un gars est cruel avec elle c’est qu’il est amoureux d’elle ! ; et quand un tueur finit par avouer où par exemple après trois mois de mensonges et de déni et de moyens comme se constituer partie civile pour suivre l’évolution du dossier comme ce serait le cas en ce moment du mari de la victime Alexia Daval, les individus qui tuent veulent s’en sortir à tout prix. Parfois, ils tuent une fois et cela leur suffit mais d’autres tuent et recommencent. C’est le sujet de ce livre publié aux éditions Broquet.

tueurs en sérieEn tout début du livre TUEURS EN SÉRIE, l’auteure Charlotte Greig décrit avec des exemples le tueur solitaire, le tueur  »ordinaire », les personnages historiques, les tueurs anonymes et le psyché maléfique.

Toutefois, à l’insu de ses voisins et depuis des années, il attirait chez lui des garçons (les plus jeunes ayant 9 ans)… (p. 9)

De nombreux tueurs en série sont étudiés dans ce livre sous des sous-titres comme  »Pilier de la communauté »,  »Coeur solitaire »,  »Citoyen modèle »,  »Ressemblances » mais aussi , »Fiction culte »,  »Frénésie ».  »Meurtre en plein jour »,  »Deux fois la même nuit »,  »Faux alibi » ou même  »Conversion à l’Islam » et sous des titres de chapitre comme  »Amants démoniaques »,  »Chercheurs d’or »,  »Prédateurs de grand chemin »,  »Meurtriers sanguinaires »,  »Tueurs pédophiles »,  »Tireurs fous », etc.

Sa déclaration suscita des émois dans la foule qui n’avait aucune idée de ce qu’il avait fait aux trois femmes qu’on l’accusait d’avoir tuées. (p. 39)

Après les avoir rencontrées, il volait leur argent, leurs chéquiers, leurs bijoux et tout autre bien de valeur sur lequel il pouvait faire main basse. Parmi les femmes qu’il dupa, très peu le dénoncèrent à la police, parce qu’elles avaient honte de leur liaison avec un séducteur. (p. 83)

La police postula que les femmes disparues s’étaient tout simplement installées ailleurs. (p. 279)

Le malheur dans les cas de traitement des meurtres, c’est souvent exactement cela : les hommes qui mènent le bal ou l’opinion publique, les policiers, les journalistes sont humains et les humains défendent leurs semblables, donc s’ils sont tous ou en majorité des hommes, les femmes n’arrivent jamais à se faire entendre (et si elles sont des femmes, elles sont habituellement dirigées par des hommes et doivent convoyer leurs opinions à eux sous peine d’être expulsées) et trop souvent on répète sans fin des paroles radoucissant les actes meurtriers comme on parlera de crise de couple ou l’homme a une bonne tête, quelqu’un de bien, ou encore la phrase classique Il ne tuerait pas une mouche… Ou pire, on en fait des héros !

TUEURS EN SÉRIE est disponible en librairie et en ligne, une publication des éditions Broquet.


Bitchage & harcèlement

Comment se protéger contre le bitchage et le harcèlement psychologique et sexuel
Auteure : Marthe Saint-Laurent
Les éditions Québec-Livres

Comment se protéger contre le bitchage et le harcèlement psychologique et sexuelVictimes de la collusion en bas de la ceinture des hommes entre eux autant que des femelles jalouses qui écrasent bec et ongles celles qui menacent leur soi-disant suprématie installée ou qui les excluent pour régner seules au milieu des hommes, les femmes et les filles n’en finissent jamais de se faire harceler, bafouer, exclure, expulser, et ce pour un oui ou pour un non, au nom d’un individu avec une face faussement harmonieuse ou d’une enragée de pouvoir au sourire dentaire menaçant ou encore d’une fille-de protégée par l’argent de sa famille, les uns comme les autres se croyant permis de s’attendre à des faveurs de type sexuel ou exclusif quelconque.

Et voilà qu’en plein milieu des multiples dénoncements #METOO et #MOIAUSSI, Marthe Saint-Laurent vient d’en faire un livre armé de tous ses écrits précédents et de sa connaissance approfondie sur le bitchage et le harcèlement que subissent les femmes et les filles… et certainement aussi en pourcentage minuscule comme à l’époque des curés, les petits garçons – mais d’eux on va certainement en entendre mille fois plus parler étant donné la solidarité et la collusion des hommes en bas de la ceinture.

EXTRAITS / CITATIONS

Ainsi, trop de femmes se voient contraintes de consentir des faveurs sexuelles en échange d’une promotion, d’un rôle à l’écran ou sur scène, d’une popularité ou encore de l’assurance de conserver leur emploi. (Oserais-je ajouter : ou même d’obtenir l’info et l’accréditation nécessaires des organismes subventionnés par les gouvernements avec l’argent public autant à une journaliste femme qui a le meilleur site en ville qu’aux journaliste masculins pour faire son travail si bien sûr nous ne vivons plus à l’époque des curés et de la grande noirceur où l’argent, le pouvoir et le plaisir étaient réservés aux hommes et aux masculinistes exclusivement)

Perso, je ne crois pas avoir eu un seul boulot ou participé à une seule activité où il n’y ait eu de harcèlement psychologique ou sexuel ou les deux (des hommes qui insistent pour satisfaire leurs élans sexuels ou qui vous expulsent si vous n’offrez pas illico votre corps en échange de votre présence et qui profitent de la solidarité masculiniste pour vous tenir la tête sous l’eau, des femmes qui vous attaquent et qui vous font jeter dehors en couchant avec ces hommes et en manipulant les autres) et j’ai vu du harcèlement psychologique et du harcèlement sexuel dans les endroits les plus grandioses et dans les endroits les plus microscopiques et réduits en nombres de personnes et en superficie même si très souvent subventionnés avec de l’argent public, tous des lieux où les femmes correctes subissent des complots malodorants et n’ont d’autre choix que de se faire briser la vie de même que des années de travail que des hommes leur volent solidairement en bas de la ceinture et ces femmes victimes décidant finalement n’y plus retourner pour leur sécurité ou pour vivre sans toute cette violence masculiniste haineuse organisée. C’est vraiment à vômir. Et c’est vraiment excécrable que les gouvernements endossent tacitement ces comportements misogynes, femmophobes et féminicides.  QU’ON SE LE DISE : Les élans sexuels au travail n’ont rien à voir avec l’amour !
#moi aussi

Bravo Marthe Saint-Laurent de nous donner la parole, d’éclaircir toute cette noirceur et de nous encourager à survivre et à vivre par des marches à suivre.

http://www.quebec-livres.com/comment-se-proteger-contre-bitchage-harcelement-psychologique-sexuel/marthe-saint-laurent/livre/9782764026717


ANXIÉTÉ

VAINCRE L’ANXIÉTÉ SANS MÉDICAMENTS

vaincre anxiete sans medicamentsQuelques motifs d’anxiété dans le monde
Pourquoi les femmes sont-elles à nouveau obligées de courber l’échine et d’accepter d’être exclues comme au temps des politico-catholiques protégeant les curés pédophiles au Québec et au Vatican ? Il arrive parfois que les hommes soient tellement préoccupés à nous réduire en purée qu’ils s’emploient à nous convaincre de n’importe quoi pour se remonter eux-mêmes et aussi souvent pour faire oublier leur incompétence et leur propre anxiété solidaire et en fin de compte nous obliger à tolérer et à encourager leur intolérance à notre égard.

Pour mieux comprendre et contrôler l’anxiété, que cette anxiété soit à un niveau normal ou élevé, il vaut toujours mieux se renseigner et quoi de mieux qu’un livre pour éclairer le sujet – à condition bien sûr que la maison d’édition ne soit pas polluée par un masculiniste manipulateur qui obligerait ses écrivains à inclure de la propagande qui l’arrange (oui, oui, ça existe, même au Québec – surtout au Québec avec l’historique qui nous accable encore).

VAINCRE L’ANXIÉTÉ SANS MÉDICAMENTS ne porte pas spécifiquement sur le Québec, le problème étant mondial. Il porte sur l’état de fait et sa correction sans faire appel à des médicaments qui ont pratiquement toujours des effets secondaires néfastes.

Ces inégalités éducatives ne sont pas sans conséquence
VAINCRE L’ANXIÉTÉ SANS MÉDICAMENTS
publié aux éditions Broquet, tout comme dans la même collection Vaincre le stress sans médicaments, fait la différence dans notre volonté d’y voir clair et d’adopter des mesures qui nous seront favorables dans le but d’atteindre la santé.

Qu’est-ce qui cause l’anxiété particulièrement chez les femmes
Qu’il s’agisse de la façon d’éduquer les filles et les garçons ou du régime de vie ou de la constante pression sur les femmes d’être jeunes et belles et minces à l’excès et habillées pour plaire sinon gare à leur emploi et donc à leur vie sociale, et donc à leur intégrité mentale et donc à leur survie économique déjà réduite par le sexisme.

Tests, infos, explications, exercices, moyens de contrôler l’anxiété
Le livre du Dr. Jérôme Palazzolo contient des tests psychologiques, des encadrés révélateurs, des explications sur les stéréotypes et surtout de nombreux moyens d’y faire face. En fait, plus de la moitié du livre est consacré à la gestion et au traitement de l’anxiété, à commencer par la relaxation mais aussi des exercices et des infos sur entre autres les points d’acupuncture.

JE N’AI PLUS HONTE DE DIRE QUE JE SOUFFRE D’ANXIÉTÉ

Cette anxiété, je l’ai longtemps cachée, par honte. Je me sentais seule et m’enfermais dans cette solitude. Avec le temps, j’ai appris à en parler à mon entourage. (encadré signé Ghislaine T., p. 151)

Dans ce livre, il est donc question de peur, d’angoisse, d’anxiété, de troubles de la panique… De la peur d’avoir peur que vous jetteront sur le nez des patrons incompétents qui s’amuseront de vous voir développer un trouble anxieux et qui se sentiront par le fait même supérieurs de vous avoir réduit en miettes alors que vous avez toutes les compétences mais que la société ne cesse de vous rabattre le caquet. Renseignez-vous !

VAINCRE L’ANXIÉTÉ SANS MÉDICAMENTS est disponible aux éditions Broquet.

http://www.broquet.qc.ca/produit/vaincre-lanxiete-medicaments/


Ai-je du sang de dictateur ?

Résultat d’une recherche identitaire personnelle, Didier Lucien présente ici le despotisme à travers un spectacle historico-burlesque mettant sous des projecteurs multimédias l’histoire d’Haïti.

aijedusangdedictateur-soi-memeDu dictateur aux hommes en robe ou en costume militaire qui imposent leurs diktats aux autres en passant par l’homme blanc qui en impose à l’homme noir ou par l’homme tout court sur la femme ou l’homme orchestre sur les enfants, toutes les raisons sont bonnes pour exploiter les noirs comme biens meubles (ou les femmes, au même titre, sauf qu’il n’y a pas de mois de l’histoire des femmes – il y a bien eu un frêle essai une année mais il fut avorté à mi-chemin et ne revint jamais – il a dû se perdre dans les méandres des petits bouts précaires et cassés de la rue Jeanne-Mance alors que le Sieur de Maisonneuve a, lui, un long boulevard avec ligne de bus, ligne de métro, piste cyclable, etc.

Mais revenons à notre sujet des dictateurs et despotes. (L’avions-nous quitté ?)

Dans ce spectacle, il y a en plus du burlesque, plusieurs ressentis qui assaillent la spectatrice : la perplexité et même l’effroi qui fait sursauter lors d’une expérience multi-sensorielle, le tout menant à une réflexion d’inquiétude face à  un mauvais sort de se retrouver dans une situation contrôlée par un fou nombriliste narcissique qui ne voit dans le monde que lui-même et lui-même seul, sauf quand il s’agit de surplomber des insectes qui le vénèrent. Mais dès que tels insectes atteignent la grosseur d’un chat, ils sont bons pour l’extermination.

De nombreuses images multimédia sur grand écran format cinéma multiplient le personnage et s’il y en a d’autres, ils lui ressemblent de multiples façons ou encore c’est lui-même dictateur narcissique qui est multiplié ad nauseam. Les gestes d’intolérance qu’il pose sont mimés ou accompagnés de textes, musique ou images marquantes.

Un montage graphique est assez réussi lorsque, comme un squelette pour étudiants d’arts, un des soi-mêmes à lunettes se retrouve avec un corps entièrement composé, pour chaque membre pliant, d’une tête de soi-même à lunettes.

Le spectacle a par ailleurs le mérite de raconter l’histoire de l’esclavage et celle d’Ayiti en moultes détails mais en soulignant les failles imposées aux noirs il pourrait aussi souligner les failles qui écrasent les femmes depuis la nuit des temps alors que la situation est loin de s’améliorer ces dernières années tout particulièrement depuis que les droits des femmes sont solidairement dénigrés et volontairement niés par les hommes qui posent en victimes entre eux et réussissent à se convaincre pour convaincre les autres et parvenir au narcissisme suprême. Mais il ne faut pas s’attendre à une pensée pour autrui dans un spectacle où l’unique personnage narcissique et despotique se met à chanter (faux) habillé d’une devanture rappelant une femme en décolleté, devanture qui lui est tombé du ciel et qui est accrochée un peu comme une robe sur une poupée de carton.

http://montreal157.blogspot.ca/2016/11/ai-je-du-sang-de-dictateur.html


Invendus

avaazpetitionpain

Si tu es d’accord pour que les épiciers, commerçants et restaurateurs du Québec cessent de jeter et volontairement contaminer le pain et autres invendus, signe la pétition : https://secure.avaaz.org/fr/petition

Et une bonne année 2017 à toutes !

 


La violence faite aux femmes

Trop vraie, cette vidéo de Nicole Ferroni intitulée Stéphanie et la violence conjugale, parce qu’en fait, les hommes qui disent nous aimer, ils nous aiment mais souvent avec des oeillères et seulement quand ça fait leur affaire. Autrement, ils nous traitent sans gêne comme de la poussière :..