Archives de Catégorie: MAFIAS, tricheries, intoxications

Jacqueline Sauvage

Samedi, le 6 octobre 2018, il y aura une grande manifestation à Paris contre les violences faites aux femmes à la suite de la sortie d’un film dans lequel Muriel Robin personnifie Jacqueline Sauvage, une femme qui a subi les coups de pied et les coups de poing de son mari pendant 47 ans et qui un jour l’a tué parce qu’il fallait que ça s’arrête. Le film sera télédiffusé en France, on espère que TV5 permettra au Monde de le voir aussi.

Car le sujet est mondial, les violences faites aux femmes sont partout et de tous ordres : violences physiques, psychologiques, économiques… Dans le milieu du travail, un homme s’imagine encore trop souvent qu’une femme doit coucher avec lui si elle veut un emploi ou une accréditation journalistique.

Car le sujet est ignoré par les autorités qui ne reconnaissent pas que le même homme peut être super sympa avec ses potes, avec les voisins, avec la famille mais être tout autre avec sa femme ou avec les femmes.

Car les femmes sont infiniment isolées dans leur honte de n’avoir pas eu le boulot qu’elle méritait beaucoup plus que souvent l’ignare parachuté incompétent de deuxième ou de dernier choix qui a eu le poste ou que le petit nouveau lèche-bottes qui a reçu l’accréditation juste pour lui montrer à cette femme que la prochaine fois elle n’aura qu’à honorer cet attribut qu’il vénère tant.

Car les gouvernements sont toujours beaucoup plus préoccupés à offrir aux riches et aux puissants, tout en affichant par le fait même leur lâcheté vis-à-vis des personnes qui auraient besoin réellement des budgets dont ils disposent grassement aux amis qui sont en mesure de leur remplir les coffres pour la prochaine campagne électorale.

Bravo à Muriel Robin pour sa prise de position dans cette affaire.

Signez la pétition : change.org/sauvonsles

https://www.change.org/p/sauvons-celles-qui-sont-encore-vivantes
Vous pouvez signer anonymement si vous avez peur des représailles !


TUEURS EN SÉRIE

Dans la tête des meurtriers les plus monstrueux

Un meurtre de femme sur trois, c’est le conjoint ou l’ex qui est le meurtrier en France ; souvent on enseigne aux filles que si un gars est cruel avec elle c’est qu’il est amoureux d’elle ! ; et quand un tueur finit par avouer où par exemple après trois mois de mensonges et de déni et de moyens comme se constituer partie civile pour suivre l’évolution du dossier comme ce serait le cas en ce moment du mari de la victime Alexia Daval, les individus qui tuent veulent s’en sortir à tout prix. Parfois, ils tuent une fois et cela leur suffit mais d’autres tuent et recommencent. C’est le sujet de ce livre publié aux éditions Broquet.

tueurs en sérieEn tout début du livre TUEURS EN SÉRIE, l’auteure Charlotte Greig décrit avec des exemples le tueur solitaire, le tueur  »ordinaire », les personnages historiques, les tueurs anonymes et le psyché maléfique.

Toutefois, à l’insu de ses voisins et depuis des années, il attirait chez lui des garçons (les plus jeunes ayant 9 ans)… (p. 9)

De nombreux tueurs en série sont étudiés dans ce livre sous des sous-titres comme  »Pilier de la communauté »,  »Coeur solitaire »,  »Citoyen modèle »,  »Ressemblances » mais aussi , »Fiction culte »,  »Frénésie ».  »Meurtre en plein jour »,  »Deux fois la même nuit »,  »Faux alibi » ou même  »Conversion à l’Islam » et sous des titres de chapitre comme  »Amants démoniaques »,  »Chercheurs d’or »,  »Prédateurs de grand chemin »,  »Meurtriers sanguinaires »,  »Tueurs pédophiles »,  »Tireurs fous », etc.

Sa déclaration suscita des émois dans la foule qui n’avait aucune idée de ce qu’il avait fait aux trois femmes qu’on l’accusait d’avoir tuées. (p. 39)

Après les avoir rencontrées, il volait leur argent, leurs chéquiers, leurs bijoux et tout autre bien de valeur sur lequel il pouvait faire main basse. Parmi les femmes qu’il dupa, très peu le dénoncèrent à la police, parce qu’elles avaient honte de leur liaison avec un séducteur. (p. 83)

La police postula que les femmes disparues s’étaient tout simplement installées ailleurs. (p. 279)

Le malheur dans les cas de traitement des meurtres, c’est souvent exactement cela : les hommes qui mènent le bal ou l’opinion publique, les policiers, les journalistes sont humains et les humains défendent leurs semblables, donc s’ils sont tous ou en majorité des hommes, les femmes n’arrivent jamais à se faire entendre (et si elles sont des femmes, elles sont habituellement dirigées par des hommes et doivent convoyer leurs opinions à eux sous peine d’être expulsées) et trop souvent on répète sans fin des paroles radoucissant les actes meurtriers comme on parlera de crise de couple ou l’homme a une bonne tête, quelqu’un de bien, ou encore la phrase classique Il ne tuerait pas une mouche… Ou pire, on en fait des héros !

TUEURS EN SÉRIE est disponible en librairie et en ligne, une publication des éditions Broquet.


Bitchage & harcèlement

Comment se protéger contre le bitchage et le harcèlement psychologique et sexuel
Auteure : Marthe Saint-Laurent
Les éditions Québec-Livres

Comment se protéger contre le bitchage et le harcèlement psychologique et sexuelVictimes de la collusion en bas de la ceinture des hommes entre eux autant que des femelles jalouses qui écrasent bec et ongles celles qui menacent leur soi-disant suprématie installée ou qui les excluent pour régner seules au milieu des hommes, les femmes et les filles n’en finissent jamais de se faire harceler, bafouer, exclure, expulser, et ce pour un oui ou pour un non, au nom d’un individu avec une face faussement harmonieuse ou d’une enragée de pouvoir au sourire dentaire menaçant ou encore d’une fille-de protégée par l’argent de sa famille, les uns comme les autres se croyant permis de s’attendre à des faveurs de type sexuel ou exclusif quelconque.

Et voilà qu’en plein milieu des multiples dénoncements #METOO et #MOIAUSSI, Marthe Saint-Laurent vient d’en faire un livre armé de tous ses écrits précédents et de sa connaissance approfondie sur le bitchage et le harcèlement que subissent les femmes et les filles… et certainement aussi en pourcentage minuscule comme à l’époque des curés, les petits garçons – mais d’eux on va certainement en entendre mille fois plus parler étant donné la solidarité et la collusion des hommes en bas de la ceinture.

EXTRAITS / CITATIONS

Ainsi, trop de femmes se voient contraintes de consentir des faveurs sexuelles en échange d’une promotion, d’un rôle à l’écran ou sur scène, d’une popularité ou encore de l’assurance de conserver leur emploi. (Oserais-je ajouter : ou même d’obtenir l’info et l’accréditation nécessaires des organismes subventionnés par les gouvernements avec l’argent public autant à une journaliste femme qui a le meilleur site en ville qu’aux journaliste masculins pour faire son travail si bien sûr nous ne vivons plus à l’époque des curés et de la grande noirceur où l’argent, le pouvoir et le plaisir étaient réservés aux hommes et aux masculinistes exclusivement)

Perso, je ne crois pas avoir eu un seul boulot ou participé à une seule activité où il n’y ait eu de harcèlement psychologique ou sexuel ou les deux (des hommes qui insistent pour satisfaire leurs élans sexuels ou qui vous expulsent si vous n’offrez pas illico votre corps en échange de votre présence et qui profitent de la solidarité masculiniste pour vous tenir la tête sous l’eau, des femmes qui vous attaquent et qui vous font jeter dehors en couchant avec ces hommes et en manipulant les autres) et j’ai vu du harcèlement psychologique et du harcèlement sexuel dans les endroits les plus grandioses et dans les endroits les plus microscopiques et réduits en nombres de personnes et en superficie même si très souvent subventionnés avec de l’argent public, tous des lieux où les femmes correctes subissent des complots malodorants et n’ont d’autre choix que de se faire briser la vie de même que des années de travail que des hommes leur volent solidairement en bas de la ceinture et ces femmes victimes décidant finalement n’y plus retourner pour leur sécurité ou pour vivre sans toute cette violence masculiniste haineuse organisée. C’est vraiment à vômir. Et c’est vraiment excécrable que les gouvernements endossent tacitement ces comportements misogynes, femmophobes et féminicides.  QU’ON SE LE DISE : Les élans sexuels au travail n’ont rien à voir avec l’amour !
#moi aussi

Bravo Marthe Saint-Laurent de nous donner la parole, d’éclaircir toute cette noirceur et de nous encourager à survivre et à vivre par des marches à suivre.

http://www.quebec-livres.com/comment-se-proteger-contre-bitchage-harcelement-psychologique-sexuel/marthe-saint-laurent/livre/9782764026717


Invendus

avaazpetitionpain

Si tu es d’accord pour que les épiciers, commerçants et restaurateurs du Québec cessent de jeter et volontairement contaminer le pain et autres invendus, signe la pétition : https://secure.avaaz.org/fr/petition

Et une bonne année 2017 à toutes !

 


La preuve par l’architecture

Où peuvent mener les hommes qui marchent et imposent, solidaires derrière un drapeau, fiers de leur pouvoir massu, fiers de participer à la mise en place d’un souffle nouveau dans le monde auquel ils appartiennent et dans lequel ils veulent le haut du pavé et sans conteste ?

La preuve par l’architecture

Exposition La preuve par l’architecture
Photo Copyright CCA

Le CCA propose dans sa salle octogonale une exposition choc dans laquelle les architectes se posent l’énigme de divulguer les torts de leurs confrères nazis qui ont élaboré les salles d’endormissement exécutoire d’hommes, de femmes et d’enfants juifs et gitans à Auschwitz.

Car oui, il y a eu des architectes éduqués et assistés d’esclaves prisonniers qui ont eu le malheur d’oublier leurs plans dans des salles d’archives qu’ils n’avaient pas détruites avant de prendre leurs jambes à leur cou.

Dans le but de répondre aux négationnistes, Robert Jan van Pelt s’est mis en tête de retrouver et de recouper l’information obtenue dans des pays comme la Pologne et aussi la Russie où tout était en cache jusqu’en 1991.

Au milieu de la pièce, comme un bûcher de sorcière
L’exposition présente principalement une cage ressemblant à un petit ascenseur personnel à insecticide ainsi qu’une trappe étanche au gaz et des plâtres dont il faut lire les vignettes, représentant en relief blanc sur blanc des objets d’importance comme un portrait des architectes, une lettre de commande, des plans bâtis… Un peu comme si aujourd’hui des informaticiens oubliaient leur code visant à exclure celles qui sont meilleures qu’eux ou qui ne répondent pas à leur plan ou encore un autre retour en arrière si les inquisiteurs avaient caché dans un coffret leur plan de brûler les femmes indépendantes pour s’approprier de leurs biens… Car au fond, c’est toujours cela l’enjeu : s’approprier des biens ou des idées ou des succès de ceux et celles que les jaloux veulent pour eux-mêmes mais sont trop pressés pour se constituer par eux-mêmes. Donc, nous ne sommes pas sortis de l’auberge !

Ils exécutaient leur boulot
Et que ce serait-il passé si ces architectes avaient refusé de concevoir ces plans ? Ils n’auraient en tout cas pas été tués physiquement selon les commissaires de l’exposition, mais encore ? Auraient-ils été tués socialement ou économiquement ? Selon la co-commissaire Anne Bordeleau, vraisemblablement non mais le co-commissaire Robert Jan van Pelt indique que l’un des individus sur la photo qui a fait les plans de Birkenau aurait par la suite demandé son transfert comme c’était le cas des architectes objecteurs de conscience.

Cette exposition qui rassemble des éléments mis en commun par les quatre commissaires de l’exposition, les professeurs Anne Bordeleau, Robert Jan van Pelt et Donald McKay de l’École d’Architecture de l’Université de Waterloo (Canada) et la productrice indépendante Sascha Hastings dans un exercice de reconstitution historique, mène à la réflexion puisque de nos jours où tout se consomme si superficiellement nous sommes loin d’être à l’abri de par exemple au Québec le retour de curés nouveau genre protégés par un quelconque nouveau drapeau derrière lequel ils se cacheraient et se sentiraient assez protégés pour passer à des exercices personnels de pouvoir malsain et usurpateur corrompu.

À voir au Centre Canadien d’Architecture du 16 juin au 11 septembre 2016.


Féminisation des titres

Voici un texte, toujours infiniment d’actualité quoique loin d’être nouveau, sans signature connue, qui m’a été envoyé par une amie, une longue blague de clown triste sur la condition féminine qui ne cesse de se détériorer malgré ce qu’en disent quelques femmes perdues en politique ou dans les politiques :

En somme,
Lui : il a son droit de cité, son métier, son statut social
Elle : c’est une pute

Faut-il être pour ou contre la féminisation des noms ?
Quand on voit l’usage qu’on en fait, on peut se poser la question.

Un gars : c’est un jeune homme
Une garce : c’est une pute

Un courtisan : c’est un proche du roi
Une courtisane : c’est une pute

Un masseur : c’est un kiné
Une masseuse : c’est une pute

Un coureur : c’est un joggeur
Une coureuse : c’est une pute

Un rouleur : c’est un cycliste
Une rouleuse : c’est une pute

Un professionnel : c’est un sportif de haut niveau
Une professionnelle : c’est une pute

Un homme sans moralité : c’est un politicien
Une femme sans moralité : c’est une pute

Un entraîneur : c’est un homme qui entraîne une équipe sportive
Une entraîneuse : c’est une pute

Un homme à femmes : c’est un séducteur
Une femme à hommes : c’est une pute

Un homme public : c’est un homme connu
Une femme publique : c’est une pute

Un homme facile : c’est un homme agréable à vivre
Une femme facile : c’est une pute

Un homme qui fait le trottoir : c’est un paveur
Une femme qui fait le trottoir : c’est une pute

Un péripatétitien : c’est un philosophe
Une péripatétitienne : c’est une pute

zonepemppppoComment une femme peut-elle se sentir incluse si on ne parle de l’humanité qu’en terme d’hommes. Comment les hommes peuvent-ils penser à inclure les femmes quand on cite les droits de l’homme pour parler des droits humains ? Ne font-ils pas exprès pour tout confondre ? S’offrent-ils entre eux des pots-de-vin et des sièges sur des comités ou des conseils d’administration pour empêcher la situation d’évoluer ? Si partout toujours les femmes doivent ressembler à des top modèles et être belles et se taire pour être acceptées, est-ce tous ceux qui sont d’accord avec ça sont des bêtes qui ont leur fierté dans leur culotte ? Sinon,  que font-ils pour le prouver ?

Les hommes sont-ils tous des rustres qui se sont organisés pour avoir la langue française de leur côté ? Est-ce que, pour commencer, les automatiques pourraient traduire les jurons par autre chose que « putain ! » ???

8 mars, Journée droits des femmes, égalité à atteindre, infographie ONU

LIVRES TÉMOIGNAGES
J’ai été une esclave sexuelle
Trois vies contre trois paquets de cigarettes

Aussi longtemps que les rivières couleront


Sordide complot

« Si tu crois que j’ai réussi
à me rendre où je suis en étant honnête,
tu rêves en couleur. »

SLM 2015
Tant d’hommes sont tellement prêts à tout et n’importe quoi pour parvenir à leurs fins.

Perso, il m’est déjà arrivé d’avoir à subir une seconde fois des tests pré-emploi en raison d’une maladie impossible. Ce jour-là, une infirmière a soit subi de l’intimidation soit reçu un grosse enveloppe brune de la part de cet homme d’une cinquantaine d’années qui discutait vivement avec elle de l’autre côté des vitres. Dommage qu’en échange de ses problèmes de prostate je n’aie pas été enceinte…

J’ai aussi connu un cancre qui est un jour passé VP d’une grande banque canadienne et dont le visage se défaisait immanquablement quand je lui disais que non je ne connaissais personne là où je venais d’être embauchée. Moi je n’avais pas accès à tous ces lieux réservés aux hommes.

Et connaissez-vous quelqu’un qui faisait tout bien et qui était sur le sentier d’une belle carrière et qui dans l’espace d’un éclair a vu le sol se dérober sous ses pieds et soudain se voir déchu au profit de trolls aux magouilles bien rodées avec des intermédiaires et même un journaliste bien graissés qui en beurrent épais pour convaincre tout l’entourage ?

Nous aurions besoin de la chouette équipe de Caméra Danger pour nous sortir de tous ces cauchemars.

Tome 9, Sordide complot, raconte l’histoire d’une course de vélo de montagne qui tourne au cauchemar à Sugarloaf. C’est un roman, un polar oh combien d’actualité.

Une fiction grinçante de vérité avec des rebondissements vraiment bien menés.

CITATIONS / EXTRAITS

« Il espère s’y voir tenant fièrement la médaille d’or qui lui ouvrira la porte des prochains Jeux olympiques. Il vient d’avoir dix-huit ans. Passionné par son sport et très tenace, il envisage l’avenir avec optimisme. » (p. 14)

« Il semble plutôt du genre solitaire, mais il est quand même venu s’entraîner un pe avec nous. Il est vraiment bon et m’a d’ailleurs donné quelques conseils. » (p. 45)

Sordide complot, tome 9 de la série Caméra Danger, est écrit par Lucia Cavezzali et est publié chez Marcel Broquet, la nouvelle édition.

J’ai eu le plaisir de rencontrer l’auteure en entrevue au Salon du livre de Montréal 2015.


Vous savez déjà

« Quand une collectivité s’unit pour provoquer un changement, elle détient un formidable pouvoir. » (p. 135)

Vous savez déjà . Apprenez à vous servir de votre intuition de Becky Walsh a été traduit de l'anglais par Danièle Bellehumeur et publié aux éditions Le Dauphin Blanc.

Vous savez déjà . Apprenez à vous servir de votre intuition de Becky Walsh a été traduit de l’anglais par Danièle Bellehumeur et publié aux éditions Le Dauphin Blanc.

Au moment où Doc Zone nous dépeint les comportements psychopathes, voici un livre qui pourrait nous aider à nous soucier non pas des manipulateurs habitués à nous faire des reproches et une morale qu’ils ne suivent souvent pas eux-mêmes mais se soucier de soi. Un livre qui parle d’intuition, de cette petite voix qui nous alerte quand nous savons faire la différence avec l’égo qui lui veut croire n’importe qui affichant un irrésistible sourire infiniment charmeur et racontant n’importe quoi pour parvenir à ses fins.

« Évitez de croire ceux qui cherchent à vous persuader que vous avec un « problème ». » (p. 142)

Le sujet de l’intuition est difficile mais l’auteure Becky Walsh parvient assez bien à cerner les éléments qui feront en sorte de vous porter à avoir davantage confiance en votre for intérieur qu’en n’importe qui se servant de n’importe quoi sur votre dos. Et c’est de plus en plus important.

Vous savez déjà . Apprenez à vous servir de votre intuition de Becky Walsh a été traduit de l’anglais par Danièle Bellehumeur et publié aux éditions Le Dauphin Blanc.


La face cachée du surpoids

La face cachée du surpoids, Après tant d'acharnement... Libérez-vous !, par Joanne Duquette, est publié chez Béliveau éditeur.

La face cachée du surpoids, Après tant d’acharnement… Libérez-vous !, par Joanne Duquette, est publié chez Béliveau éditeur.

C’est sûr qu’à se gâter de mini-gâteaux dans une tasse on peut finir par en voir les rondeurs…

Sauf que… Vous n’êtes pas ce que vous pesez !

Et, Joane Duquette, psychothérapeute, en a fait le tour et nous renseigne dans un livre actualisé sur le surpoids – probablement la pire tare (à part celle d’être une femme… double tare si elle porte 1 milligramme de poids en trop). Être grosse, c’est la pire affectation qui puisse affliger quelqu’un dans notre société actuelle en raison de toutes les fortunes qui se constituent sur l’élimination des kilos en trop.

J’aime particulièrement son Préambule : L’ouverture à soi malgré un corps imparfait

« Mon physique attire les regards et les jugements. Mon corps a du mal à se conformer aux nombreuses exigences sociales. Je navigue depuis longtemps avec des outils inadaptés à mes besoins. J’entends les discours populaires et je reconnais que mes trente dernières années ont été marquées de rituels dictés par une société qui ne se soucie aucunement de moi ni de ma réalité. » (p. 9)

Autres extraits :

« Le manque de sommeil augmente aussi la sensibilité au stress, ce qui accroît, par conséquent, la production de cortisol qui stimule à son tour les signaux de la faim par l’entremise du taux de sucre dans le sang. Tout un cocktail hormonal ! » (p. 32, Le manque de sommeil : les hormones qui stimulent la faim)

« Dans notre société, nous avons tendance à confondre cette pulsion biochimique avec le manque de volonté. » (p. 90, La gourmandise : bannir ou consentir ?)

« Est-ce possible de suivre l’évolution de mon poids si je n’ai plus de balance ? Oh que oui ! » (p. 125, Une vie sans pèse-personne)

La face cachée du surpoids, Après tant d’acharnement… Libérez-vous !, par Joanne Duquette, est publié chez Béliveau éditeur.


FFM : Sound of Tears

Sound of Tears est l’histoire d’une femme qui doit «choisir» entre le mariage forcé et l’homme qu’elle aime. En fait, elle n’a pas le choix, c’est un peu comme ici la religion des festivals qui impose une certaine propagande, contrôlée par un petit nombre : ceux et celles qui n’adhèrent pas ou qui ne sont pas des marionnettes de famille adulée sont assassinés.
C’est une «question d’honneur»
Dans Sound of Tears, la jeune femme subit le crime d’honneur, elle est tuée par ses père et frères qui intolèrent sa curiosité du monde dans lequel elle vit depuis que la famille a émigré dans un pays soi-disant libre de religion, pays qui irait peut-être jusqu’à croire que c’est l’amant qui a tué sa femme sauf que le film ne se rend pas jusqu’à l’enquête. Il s’arrête aux hommes et aux femmes de famille qui reprochent à la jeune femme universelle de vouloir regarder plus large et plus vaste que le martèlement obligé.
Festival des films du monde 2014Sound of Tears est un court-métrage canadien de 15 minutes, réalisé par Dorothy A Atabong. Dans le film, on reconnaît la sublime chanteuse Dobet Gnahoré qui a fait la musique avec Colin Laroche de Feline.