Archives mensuelles : janvier 2014

TRAIN DE NUIT POUR LISBONNE

(Night Train to Lisbon)

Basé sur le roman au succès mondial de Pascal Mercier

Disponible en DVD, Vidéo sur demande et sur iTunes

Réalisé par Bille August (Gagnant d’un OscarMD et de deux Palmes d’or – Les Misérables, La Maison aux esprits), le film met en vedette Jeremy Irons (Gagnant d’un OscarMDLe Royaume des cieux, L’Homme au masque de fer), Mélanie Laurent (Le Commando des bâtards, Insaisissable), Martina Gedeck (La Vie des autres), Bruno Ganz (Le Liseur, La Chute), Lena Olin (L’Insoutenable légèreté de l’être) et la participation de Christopher Lee (Trilogie Le Seigneur des anneaux) et Charlotte Rampling (Melancholia).
Train de nuit pour Lisbonne en DVD

Train de nuit pour Lisbonne

Votre vie peut changer en un instant

Le film débute sur une jeune femme qui est penchée sur le parapet d’un pont et qui s’apprête à sauter et sur un professeur cinquantenaire qui passe par là et se met à courir sous la pluie pour l’en empêcher, perdant ainsi tous ses travaux corrigés et allant jusqu’à l’amener en classe avec lui.

Et puis, ce même professeur découvre par hasard le livre d’un poète portugais.

Ces deux rencontres bouleversent la vie de cet homme mûr, solitaire et sensible à un point tel qu’au beau milieu d’un cours, il se lève et s’empresse soudain de monter dans le premier train pour Lisbonne, tournant ainsi le dos à son existence morose pour découvrir la beauté de la ville et la vie de ce mystérieux poète.

Fasciné par ce texte et par son auteur, il va partir à la rencontre de toutes les personnes qui l’ont connu, un voyage qui va l’ouvrir à l’amour, l’amitié, le courage et la mort.

Train de nuit pour Lisbonne a été présenté en première mondiale au Festival de Berlin 2013.

CITATIONS tirées des dialogues du film

« Il faut que je trouve l’adresse de l’homme qui a écrit ce livre. »

« J’aurais aimé l’avoir écrit. Dans ce livre, il aborde tous les sujets qui me préoccupent depuis des années. »

« La jalousie est un sentiment vraiment affreux. »

« Toutes ces choses que tu veux, tu les veux pour toi, Matteo »

« J’ai laissé passer ma vie, excepté ces derniers jours ici. »

TVA Films et Pacific Northwest Pictures

Bande annonce : http://youtu.be/zqiI7jN4uoQ

http://www.nighttrain-film.com/

Informations techniques – DVD

Langues : Français, Anglais

Encodage pour les malentendants : Anglais

Son : 5.1 Dolby Digital

Durée : 111 minutes


Les héritiers du fleuve

Les héritiers du fleuve, tomes 1 & 2: 1898-1914 Louise Tremblay-D’Essiambre Guy Saint-Jean éditeur

Les héritiers du fleuve, tomes 1 & 2: 1887-1893 & 1898-1914
Louise Tremblay-D’Essiambre
Guy Saint-Jean éditeur

Dans cette nouvelle série, Louise Tremblay D’Essiambre a déjà publié deux tomes pour raconter les gens de la CÔTE DU SUD, des hommes et des femmes, des métiers de forgeron, marchand général, bûcherons, marins, pêcheurs et agriculteurs de même qu’un Irlandais orphelin ayant poursuivi sa route jusqu’à Montréal dans le Griffintown… un roman très historique et merveilleusement réaliste de l’époque.

J’ai eu le plaisir de rencontrer cette auteure québécoise fabuleusement prolifique à succès au Salon du livre de Montréal. Laissons-la nous parler elle-même de cette nouvelle série et de son métier d’écrivaine :

Donc, c’est une belle et chaleureuse invitation pour apprendre les gens qui ont peuplé le Saint-Laurent au moment où le grand fleuve québécois était la seule autoroute possible, à l’époque aussi où les femmes devaient faire elles-mêmes leur pain dans des fours à pain traditionnels.

CITATIONS / EXTRAITS

« Victoire, Alexandrine et Emma…
La jeune trentaine, peut-être un peu plus, peut-être un peu moins, elles vivent à cette époque où la femme n’a ni droits ni âme. Ou si peu. Épouse d’un tel ou fille de cet autre, la femme n’est que l’ombre de celui qui l’a engendrée et un peu plus tard, elle deviendra l’ombre de celui qui l’a choisie pour compagne.
Alors, il y aura aussi Albert, Clovis et Matthieu, les maris, tout comme il y avait eu avant eux Évariste, Ovide et François, les pères. » (p. 11, Note de l’auteur)

« Se pouvait-il que le médecin, lui aussi, puisse se tromper ? Comme le curé ? Alexandrine n’osa le demander. » (p. 40, tome 1)

Les héritiers du fleuve, tomes 1 & 2: 1887-1893 & 1898-1914, de Louise Tremblay-D’Essiambre est disponible en formats imprimé, pdf et ePub, publié chez Guy Saint-Jean éditeur.


Face au mur

Théâtre reflet de l’absurde monde dans lequel nous vivons, Face au mur est un déversement de paroles sans communication et sans lien autre que la déroute pour faire diversion. Reflet du monde actuel aussi la place de la femme : ils sont quatre mecs pour une seule femme à qui ils font dire des niaiseries pour mieux l’obstiner et la faire se sentir tellement ridicule qu’elle prenne ensuite et à jamais, enfin selon eux, la place immobile au fond dans l’ombre pendant que pour la majeure partie du spectacle les 4 mecs, pingouin hésitant compris, offrent chacun dans sa bulle son fier torse proprement chemisé au public et ses élucubrations délirantes.

Survivre à un monde gonflé
Cette pièce sur plancher crevable se veut déroutante, un peu comme un montage financier global aux investisseurs inconnus / gonflés / méconnus mais aux idées bien arrêtées cherchant à couvrir tout l’espace jusqu’ à en remonter  les murs et à en accrocher au plafond, disséminées. Entre individus semblables ou pas, on interrompt pour faire oublier le fil de la pensée à l’autre et pour lui dérouter les idées et amener en surface à leur place une image confrontante, effaçante et remplaçante. Honte à l’enfant abusé et ridicule comme des ballons retenus au sol le sexe gonflé de l’homme dans le sexe gonflé de la femme. Aussi ridicule qu’un placard avec un jardin japonais. Mais par contre silence absolu sur le sexe gonflé de l’homme dans l’appareil digestif gonflé d’un autre individu à configuration masculine. « Ne m’aidez pas » dira le veston coquille d’oeuf de cérémonie.

Face au mur est présenté à l’Usine C encore ce soir et demain soir.


Duos pour corps et instruments

Le premier de quatre magnifiques spectacles de danse a eu lieu hier soir à l’Agora de la danse. Une recréation dix années plus tard d’une chorégraphie sur fond sonore électronique avec quelques projections sur écran et surtout trois danseuses exceptionnelles : Karina Champoux, Clara Furey et Anne Thériault.

Duos pour corps et instruments

Duos pour corps et instruments
Chorégraphe : Danièle Desnoyers
Création et design sonore :
Nancy Tobin
Interprètes :
Karina Champoux,
Clara Furey et
Anne Thériault
Agora de la danse
22(complet), 23, 24 janvier à 20 h
+ 25 janvier à 16 h
Parole de chorégraphe : 23 janvier

Trois jeunes femmes, on dirait des soeurs ou des collégiennes ou des droguées de la réussite, en tenue de ville avec chaussures à hauts talons et plateformes. Habituées ensemble, chacune tente de se faire entendre par le biais de chacune son haut-parleur et des solos de danse. Mais lorsque l’une d’elle se fait intimer l’ordre d’arrêter, elle sort avec tant de fracas qu’un individu de configuration masculine dans la salle, drogué par les clichés qui l’avantagent, a passé une remarque impensable : « hystérique ! ». Mais comment ne pas devenir hystérique quand on nous empêche de nous exprimer ? Bref, c’est pas ça qui a arrêté nos fabuleuses artistes sur scène qui ont poursuivi en véritables bêtes de scène : ces femmes semblent avoir des corps totalement mouvables dans tous les sens. D’ailleurs, ce retour d’un spectacle comme on en fait plus sur la base d’une véritable réflexion humaine à l’encontre d’une société automatisée jusque dans la tête double chaque déplacement par un son électronique de manière si précisément affûtée qu’il faut deux techniciens sur scène aux commandes des consoles.

Le spectacle débute sur l’une d’elles assise sur un haut-parleur prenant des poses un peu provocatrices et portant un bracelet au mollet. En fait, elle est déjà là avec un des techniciens quand on arrive. Les autres suivent, la dernière à entrer en scène étant Clara Furey, véritable double de sa mère Carole Laure qui était dans la salle aux côtés de Lewis Furey.

La mécanisation dans la société
Se succèdent des solos et des duos entrecoupés de quelques projections sur grand écran menant au bout d’un moment à l’impression d’une chaîne de montage en usine, imitant au passage les mécanismes de marche exagérés d’un défilé de mode.

La grande soeur
L’une d’elle semble tenir un rôle de grande soeur qui, après avoir crié à l’autre d’arrêter, finit par ramasser ses espadrilles lancées lors de son retour revanchard. Il n’y a que très peu de paroles dans ce spectacle mais la communication est omniprésente, même lorsque la même se met à chanter et que les deux autres se rallient pour tomber à répétition de leur haut-parleur. Question de lui laisser savoir que sa voix n’est pas appréciée, qu’elle devrait se taire, qu’elle doit s’effacer. Mais c’est sans succès. La rebelle ne se taira pas. Et elle va plus tard reprendre sa démarche moqueuse.

Duos pour corps et instruments  Photos / Anne Thériault et Clara Furey © Luc Senécal

Duos pour corps et instruments
Photos /
Anne Thériault et Clara Furey
© Luc Senécal

Duos pour corps et instruments  Photos / Karina Champoux © Luc Senécal

Duos pour corps et instruments
Photos /
Karina Champoux
© Luc Senécal

La chorégraphe
Depuis 1989, Danièle Desnoyers, directrice artistique et chorégraphe, a signé une quinzaine d’oeuvres pour sa compagnie montréalaise, Le Carré des Lombes.

Agora de la danse
Ce retour d’un spectacle créé en 2003 est une petite merveille. À voir à l’Agora de la danse d’ici au 25 janvier.


Un calepin picoté avec un canard dessus

Un calepin picoté avec un canard dessus

Le calepin picoté avec un canard dessus

Pour ajouter un peu de merveilleux par cette belle journée, ce livre pour enfants projette une très jolie histoire touchante notée 5/5 par les Bibliothèques de Montréal.

C’est l’anniversaire d’une fillette de 5 ans et elle reçoit deux cadeaux : une poupée qui fait toujours les mêmes pirouettes dont elle se lasse très vite et un calepin qui lui ouvre les portes du savoir, de l’éducation, de la découverte d’elle-même et des autres, incluant son arrière-grand-père qui se fait vraiment très vieux et qui change malgré lui tout en gardant son coeur aussi grand qu’avant, même avec ses mots démodés et les trous dans sa mémoire.

Coups de coeur
La page des orteils, les images et le texte ainsi que le tracé et le mouvement dans les illustrations.

Écrit par Pierre Chartray et Sylvie Rancourt avec les magnifiques illustrations de Marion Arbona, Un calepin picoté avec un canard dessus est publié aux Éditions du Phoenix.


100 jeux avec Namasté

100 jeux avec Namasté Auteure : France Hutchison,  	 Pour la concentration, les émotions et la socialisation des enfants Béliveau éditeur

100 jeux avec Namasté
Pour la concentration, les émotions et la socialisation des enfants
Auteure : France Hutchison
Béliveau éditeur

Déjà très en demande, le livre d’activités de yoga pour enfants et la mascotte Namasté ! Et ce qu’on enseigne aux enfants, comme le yoga du rire, peut très bien amener les plus grands à mieux apprécier la vie.

De nombreuses théories mystères comme le Yin et le Yang sont expliquées dans cet ouvrage pour la concentration, les émotions et la socialisation des enfants. C’est en fait le 2e volume de ce guide qui encadre le yoga, la musique, la couleur, le yoga sur chaise, la visualisation, le massage et le fameux yoga du rire dans le but de mieux harmoniser corps et esprit par des techniques douces.

CITATIONS / EXTRAITS

« Si vous êtes capable de fermer les yeux et de vous remémorer le trajet en voiture que vous avez parcouru pour vous rendre à votre maison, vous êtes capable de visualiser. » (p. 43)

J’ai eu le plaisir de rencontrer l’auteure et la mascotte au Salon du livre de Montréal et de réaliser la vidéo ci-après.

100 jeux avec Namasté pour la concentration, les émotions et la socialisation des enfants est un guide PédaYoga de France Hutchison publié chez Béliveau éditeur.


Ce qui n’est pas écrit

Ce qui n’est pas écrit  -  Rafael REIG Titre original : Lo que nos está escrito Traduit de l'espagnol par Myriam Chirousse, éditions Métailié

Ce qui n’est pas écrit
Auteur : Rafael REIG
Titre original :
Lo que nos está escrito
Traduit de l’espagnol par
Myriam Chirousse
Publié en français aux éditions Métailié

Un roman noir doublement noir, avec une histoire double dont l’une est réelle mais inconnue et la seconde son reflet miroir de l’âme angoissée. L’appel en absence, l’inquiétude qui amène le cerveau à se rejouer des événements du passé en fonction du présent et des doubles de roman, des scènes que l’on ne referait pas nécessairement, très certainement pas, et d’autres que l’on s’explique rationnellement, avec des jeux de coïncidences et de synchronicité inquiétantes autant pour les personnages que pour le lecteur.

L’histoire se passe principalement entre un homme, une femme et leur enfant. Le couple est séparé, l’homme a été violent, la femme a écouté une avocate efficace sur les droits de visite, et c’est la première fois que le père emmène le fils loin de sa mère pour trois jours en forêt. En parallèle, l’ex-mari a laissé à son ex-femme une ébauche de roman, un roman écrit pour ses yeux à elle.

Ce qui n’est pas écrit pourrait répondre aux questionnements sur les gens insatiables et toute une série de comportements humains défigurés par l’hostilité, l’angoisse, la volonté de ce qu’on croit, le fils qui a systématiquement peur de son père, la mère rationnelle qui se force malgré tout à rester calme et à ne pas sombrer dans le jeu de son ex qu’elle sait manipulateur. Dans ce roman, rancoeur et frustrations sont partout entre les lignes… Habilement, l’auteur dépeint hommes et femmes les uns et les autres et aux yeux des uns et des autres. L’enfant et la famille y passent aussi à ces jeux du ressentiment, les uns par rapport aux autres. Et c’est lui, l’auteur, qui décidera ce qu’il en adviendra…

CITATIONS / EXTRAITS

« Elles étaient comme des mouches : la vraie vie était là, à portée de main, et elles, ravies, souriantes, maquillées comme des voitures volées, elles prenaient leur envol uniquement pour aller se cogner encore et encore contre la vitre invisible. » (p. 21)

« Carmen se considérait comme une femme dotée d’imagination, mais sans fantaisie, une femme sensée, réaliste, raisonnable, incapable de s’effrayer de ses propres élucubrations. » (p. 52)

« Le mariage est un miroir, on y découvre toujours quelque chose de soi qu’on aurait préféré ne pas savoir. » (p. 53)

« L’Avocat lui assura que ce qu’ils voyaient, cette sculpture de Benlliure, c’était le résultat de toutes les batailles, qu’on les gagne ou qu’on les perde. » (p. 59)

« Si tu pouvais avoir une banque à la place d’un pistolet, tu obtiendrais beaucoup plus sans t’exposer à aucun danger. » (pp. 60-61)

« Jorge dormait un peu voûté. Il s’est demandé combien de temps ça faisait qu’il ne serrait pas son fils dans ses bras. Autant de temps que sans le voir nu. Il l’aime. Il est son père. Il l’aime et ça l’énerve de le voir dormir. » (p. 92)

« Il y avait de la méfiance dans son regard farouche. Il le sait et ça lui fait peur. » (p. 94)

Ce qui n’est pas écrit de Rafael Reig est publié aux éditions Métailié.


Sauvons le Saint-Laurent !

Sauvons le Saint-Laurent ! L’impact désastreux des changements climatiques Auteur :  F. Pierre Gingras Éditions Marcel Broquet

Sauvons le Saint-Laurent !
L’impact désastreux des changements climatiques
Auteur :
F. Pierre Gingras
Éditions Marcel Broquet

L’impact désastreux des changements climatiques

Devons-nous suivre aveuglément les experts sous prétexte qu’ils travaillent pour un institut privé à l’appellation gonflarde ? Avec le livre SAUVONS LE SAINT-LAURENT !, voilà l’occasion rêvée de mettre la main sur un de ces rapports de génie (bon ou mauvais en intentions), le genre de rapport qui échoue pour décision publique éclairée sur le bureau d’un petit fonctionnaire (possiblement placé là par son père) déposé par les mains expertes ou les gros bras d’un ami de papa ou de la communauté constructrice (destructrice) privilégiée grâce à leur bonne habitude de bien savoir tourner les phrases à leur avantage et de s’organiser entre eux – la Commission Charbonneau nous le prouve tous les jours depuis plusieurs mois.

Imaginez d’enfin faire plaisir à papa et pensez aux possibilités de pots-de-vin qui se trouvent là…

Mais là n’est pas la question de ce rapport de génie/ingénierie qui contient moultes cartes et tableaux compliqués sur lesquels se pencher. Car il s’agit ici de rien de moins que bétonner le fleuve Saint-Laurent en se basant sur d’autres projets semblables réalisés dans le monde. Oui, oui, sur notre planète on a bétonné des fleuves alors pourquoi le Québec serait-il en reste vu que déjà on a harnaché la plupart des rivières pour nourrir une société publique qui ne se laisse pas vérifier même par le Vérificateur Général ? L’État dans l’État.

S’impliquer dans la politique et les affaires publiques
Alors, si vos résolutions du Nouvel An renfermaient une intention de vous impliquer davantage dans une scène nouvelle de saines dépenses pour contrer la politique organisée, la corruption et l’octroi de contrats publics refermé sur un petit nombre d’individus présentement sans restrictions aucunes avec votre petit peu d’argent qui vous serait bien utile pour payer votre hypothèque ou votre loyer ainsi que votre épicerie, voici un projet auquel vous pourriez vous intéresser.

Car vraiment, notre voie d’eau n’aura certainement plus tellement le même charme pour s’y promener en bateau ou en kayak lorsqu’il sera affublé d’un immense mur de béton, non ?

Lisez ce rapport certainement pour vous renseigner ou pour vous imaginer que vous faites partie de cette minorité de millionnaires subventionnés qui se passent tous les contrats entre eux tout en ayant placé leurs pions dans les comités qui sont ou pas bidons de par ceux qui les forment ou les composent. C’est l’occasion ou jamais d’être au courant !

L’AUTEUR
« Responsable de l’unité de planification-estimation des grands projets hydroélectriques à Hydro Québec durant 31 ans, F. Pierre Gingras a participé notamment à la réalisation des complexes Manic-Outardes et Baie James, aux réfections des complexes St-Maurice, Gatineau et aux études d’une multitude d’autres projets tels les complexes Grande Baleine, Romaine. Depuis sa retraite en 1997, en plus du projet L’Eau du Nord, appuyé par l’Institut économique de Montréal, il a été impliqué dans une cinquantaine d’études de projets. »

Sauvons le Saint-Laurent ! L’impact désastreux des changements climatiques de F. Pierre Gingras est publié chez Marcel Broquet, la nouvelle édition.

 


Si j’avais su…

Témoignage
S’ouvrir pour prévenir le suicide

Louise Desautels, Si j’avais su… témoignage S’ouvrir pour prévenir le suicide (AQEI)

Louise Desautels, Si j’avais su… témoignage S’ouvrir pour prévenir le suicide
Éditions Véritas Québec (AQEI)

Louise Desautels a vu sa vie basculer le jour où son conjoint de 25 ans s’est suicidé dans leur résidence familiale. Tout semblait normal, ils étaient heureux, toujours amoureux, sans problèmes d’argent. Elle n’a rien vu venir. Dans ce livre, elle raconte son histoire et surtout ce qu’elle a appris depuis la formation sur la prévention du suicide qu’elle a complétée par la suite.

Ce témoignage représente un travail sur soi entrepris par l’auteure en raison de toutes les questions que se posent par les personnes survivantes. Les chapitres sont courts, de façon à ne pas accabler davantage les lecteurs et lectrices qui pourraient avoir vécu un drame aussi dévastateur et renferme des ressources pour toute personne souhaitant « agir en sentinelle pour prévenir le suicide » de même qu’un long poème À ceux qui restent.

CITATIONS / EXTRAITS DU LIVRE

« J’en profite pour rappeler l’importance de parler de ces situations. Fermer les yeux par peur de représailles renforce le pouvoir de l’agresseur. » (p. 37, LES GESTES D’INTIMIDATION SUBIS PAR MON FILS)

« Si j’avais su... ce que je sais aujourd’hui, une alarme aurait sonné dans mon esprit. Il est important de réagir si vous soupçonnez que les comportements d’une personne peuvent l’amener à avoir des idées suicidaires ; il ne faut pas hésiter à poser les questions directement. (p. 63)

J’ai rencontré Louise Desautels au Salon du Livre de Montréal où j’ai réalisé une entrevue vidéo :

Louise Desautels, Si j’avais su… témoignage S’ouvrir pour prévenir le suicide est disponible en versions papier ou numérique, aux éditions Véritas Québec (AQEI).


Non-verbal : Je lis en vous…

Anabelle Boyer, Je lis en vous... savez-vous lire en moi?, Béliveau éditeur Un livre rempli d'illustrations sur le non-verbal

Annabelle Boyer, Je lis en vous… savez-vous lire en moi?
Béliveau éditeur
Un livre rempli d’information et d’illustrations sur le non-verbal

Savez-vous lire en moi ?
Synergologie : analyse du non-verbal

Après un super roman d’affaires, Annabelle Boyer nous revient avec un super condensé sur la science de lire dans les gestes incontrôlés du corps humain : dilatation des pupilles, poignée de mains, posture, sourire, mouvements rapides des épaules ou des mains…

Ce livre rempli d’illustrations précise les points à observer chez nos interlocuteurs, patrons, collègues, clients ou conjoint afin de percevoir malgré eux ce qu’ils ressentent ou ce qu’ils pourraient éventuellement avoir derrière la tête à notre endroit.

En ces années de corruption tout aller, la science du non-verbal pourrait bien s’avérer fort utile tout particulièrement au travail.

Dans ce livre, l’auteure définit les bases de la synergologie et consacre des chapitres entiers à l’entrevue d’embauche, la rencontre de supervision, la réunion d’équipe, la rencontre de coaching, la rencontre de proposition de services ainsi que la formation ou la conférence, pimentant le tout de petits exercices d’observation et d’anecdotes très pertinentes.

CITATIONS / EXTRAITS

« Or, les victimes sont en effet choisies en fonction de leur démarche par les psychopathes qui détectent rapidement la vulnérabilité et la facilité qu’ils auraient à les agresser. C’est donc qu’ils voient quelles personnes leur donnent l’impression qu’ils pourront réussir leurs méfaits. Des psychologues de l’Université de Tokyo [(références en fin d’ouvrage)] ont établi un lien entre la façon de marcher de certaines femmes et les agressions survenues dans leur vie. » (p. 49)

« Une réunion d’équipe est un savoureux laboratoire d’observation pour un oeil averti. Évidemment, il est difficile d’animer et de regarder en même temps, mais à titre de participant, c’est une opportunité à ne pas manquer! Il est alors possible d’étudier les figures d’autorité, c’est-à-dire les stratégies de communication que les gens adoptent. » (p. 117)

J’ai eu le plaisir de rencontrer Annabelle Boyer au Salon du livre de Montréal et d’y réaliser la rencontre vidéo suivante :

Pour tout savoir sur les pensées profondes et sentiments inavouables de vos proches :

Anabelle Boyer, Je lis en vous… savez-vous lire en moi ?  Synergologie : analyse du non-verbal est publié chez Béliveau éditeur.