Unis sur scène pour un deuxième opus après dix années de travail en collaboration, l’ensemble Constantinople et le griot Ablaye Cissoko nous a offert un concert sur un nuage avec un amalgame de cordes anciennes d’origines lointaines et distinctes et de voix soyeuses. C’était littéralement fabuleux. En voici un court extrait :
Comme on le voit, Ablaye Cissoko chantait en mandingue et jouait de la kora, alors que Constantinople chantait d’anciens poèmes persans et jouait du setâr (un instrument de 5 millénaires), de la viole de gambe et des percussions multiples.
Merci au Festival international Nuits d’Afrique de nous offrir des concerts d’une telle qualité.
#nuitsdafrique
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