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Guide ULYSSE Montréal 2015

Le guide de voyages ULYSSE Montréal est disponible en ligne et en magasin. On peut l'acheter en format papier mais aussi en format numérique livre entier ou par chapitre.

Le guide de voyages ULYSSE Montréal est disponible en ligne et en magasin, en format papier et  numérique livre entier ou par chapitre.

La nouvelle édition du guide sur Montréal des guides de voyages ULYSSE est paru ! Écrit et édité par des Montréalais, il présente le plaisir de mieux voyager avec plein de cartes, conseils pratiques, attraits touristiques, sélection de restaurants et d’hôtels, idées plein air et loisirs, suggestions sorties, cadeaux… Le tout avec présentation par quartier avec mini-plans de ville et historiques fait en sorte que le guide pourrait tout aussi bien s’avérer utile aux Montréalais qui ont envie de faire du tourisme dans leur coin de pays ou qui viennent d’arriver pour un séjour court ou long.

EXTRAITS / CITATIONS

« À la suite de l’aménagement d’une digue en bordure du fleuve (1895), le développement s’accélère. Verdun est aujourd’hui urbanisé à 97%. Le vieux Verdun (à l’est de Willibrord, métro De l’Église) recèle quantité d’immeubles montréalais typiques auxquels s’ajoutent de charmantes loggias dont on retrouve une étonnante variété. » (p. 176, Verdun)

« Jean Paul Riopelle est né à Montréal en 1923. Sa carrière prend son envol au sein du groupe des Automatistes, dans les années 1940.Il fut sans doute l’un des peintres les plus importants du Québec et celui jouissant de la plus grande renommée internationale parmi ses contemporains. » (extrait de l’encadré Jean Paul Riopelle, p. 95)

Le guide de voyages ULYSSE Montréal est disponible en ligne et en magasin. On peut l’acheter en format papier mais aussi en format numérique livre entier ou par chapitre.


Le sortilège des chemins

Le sortilège des chemins récit de Sergio Kokis avec six paysages de sentiers peints par l'auteur Lévesque éditeur, collection Réverbération

Le sortilège des chemins
récit de Sergio Kokis
avec six paysages de sentiers peints par l’auteur
Lévesque éditeur

À l’aube de la soixantaine, un couple montréalais d’origines diverses se met en tête de fouler le Chemin de Compostelle pour la première fois. Il est écrivain et peintre, elle vient de prendre sa retraite, le moment semble idéal pour partir à l’aventure. Et après avoir testé leur endurance sur les trottoirs et sentiers de la ville, ils s’envolent avec, typiquement, un sac à dos bien trop plein.

Ce récit épate par une qualité de texte devenue rare en ces temps de littérature marketing. L’auteur Sergio Kokis, d’origine brésilienne mais aussi d’autres origines antérieures russes comme on l’apprend vers la fin nous raconte en détails le premier périple suivi de plusieurs autres dans plusieurs pays européens. Mais ils ont tout de même quelques habitudes de bons restaurants qu’il nous raconte tout en intercalant leurs pèlerinages de réflexions sur ses romans précédents, son ancienne maison d’édition vendue et ses livres soudainement sans point de vente, l’art contemporain pour ce qu’il vaut… et surtout les rencontres, les petits bonheurs, les gîtes… et de nombreuses vérités existentielles.

CITATIONS / EXTRAITS

« Après deux mois de vie dépouillée, avec mon sac à dos pour tout bagage, cette abondance d’objets superflus m’est apparue dans toute son absurdité, comme un boulet destiné à entraver ma liberté. » (p. 75)

« Souvent, durant nos randonnées, je me perdais en rêveries tout en observant distraitement non pas les paysages alentour mais le sentier lui-même. J’étais captivé par cette étroite portion de terrain qui serpentait devant moi, bordée soit d’herbes, soit des racines des arbres de la forêt. Le passage d’autres marcheurs avant nous avait dessiné ce lieu de marche, lui conférant le statut de chemin. À leur tour, nos pas contribuaient à le maintenir vivant. (p. 133)

« En tant que peintre et intellectuel, je ne me sens aucunement solidaire des enfantillages et des bricolages ridicules qu’on présente dans les musées en guide d’art contemporain. » (p. 122)

« La dissimulation – distincte du simple déguisement – est une attitude spécifiquement humaine. Elle peut atteindre des sommets de sophistication ou même constituer une façon permanente d’être au monde, d’où son intérêt pour un artiste préoccupé par l’analyse existentielle. » (p. 161)

« C’est curieux comme ce genre de rencontres nous arrivent souvent durant nos randonnées, tandis que nous sommes si sauvages chez nous, à Montréal. » (p. 188)

Le sortilège des chemins, récit de Sergio Kokis avec six paysages de sentiers peints par l’auteur est publié chez Lévesque éditeur, collection Réverbération.


World Press Photo 2014

Les 150 photos gagnantes sélectionnées en 2014 par le plus prestigieux événement photographique au monde

World Press Photo 2014

World Press Photo 2014

L’exposition de photos de presse internationales, imprimées très grand format, édition 2014 est présentée à Montréal, au Marché Bonsecours, Salle de la Commune (325, rue de la Commune Est) jusqu’au 28 septembre 2014.

C’est l’occasion ou jamais d’apprécier le travail de journalistes – photographes dans tous les domaines et voir de magnifiques photos représentant les humains, hommes et femmes et enfants, animaux, performances sportives sur le vif, misère causée par les hommes. Quelques exemples : Gaza et l’électricité qui manque trop souvent et qui empêche ses habitants de vivre normalement à cause du voisin Israël, des agriculteurs aux méthodes trop antiques pour être reconnus par l’Union européenne, une Allemande expatriée qui plus-que-partage son habitat avec d’innombrables chiens… Aussi, d’autres expositions dont l’exposition Oxfam-Québec qui comprend de magnifiques photos de femmes et de jeunes qui créent leur entreprise…

www.wppmtl.com


La ballade d’Ali Baba

La ballade d'Ali Baba est une fiction savoureuse de famille immigrante élaborée avec verve par Catherine Mavrikakis, publiée aux éditions Héliotrope

La ballade d’Ali Baba
Auteure : Catherine Mavrikakis
Éditions Héliotrope, Montréal

Un roman de route rigolo, principalement entre Montréal, Alger et Key West, au départ d’une famille grecque originaire de Rhodes, raconté au «je» par la Montréalaise fille d’un père charmeur absent, lui-même fils de père absent ayant laissé partir sa femme et ses multiples jeunes enfants dont il était l’aîné vers Alger pour cause de guerre. Ouf ! Attachez vos tuques car ce n’est pas tout, on s’avance aussi un peu vers l’Halloween et les morts vivants ainsi que l’Italie et les vacances !

C’est super drôle, super bien mené, super crédible, super inspiré de la réalité, super sans propagande ni politique ni religieuse.  Un roman qui raconte des histoires de famille, des incidences de corruption, des presque accidents de déneigeuses, des tempêtes de neiges du haut d’un appartement avec vue sur la ville, des vagues de l’océan balayant les côtes…

« Quand je tendis ma carte de crédit, une libraire bien intentionnée me demanda si j’étais Érina, la fille de Vassili Papadopoulos. Un oui laconique fut ma réponse à cette jeune femme qui aurait dû, en travaillant dans les livres, me connaître comme écrivaine. Enchantée, elle me demanda tout de go si je voyais plus souvent mon père. C’était, selon ses dires, un homme aimable, attachant, qui venait souvent à la librairie bavarder. Il était très heureux et gentil, mais une chose l’attristait : le silence que sa fille Érina gardait à son endroit. Elle ne voulait pas le voir, avait-il confié profondément bouleversé à la petite libraire, me faisant passer pour une parvenue honteuse de ses origines et de son père, pourtant moteur de sa réussite. » (p. 50)

La ballade d’Ali Baba est une fiction savoureuse de famille immigrante élaborée avec verve par Catherine Mavrikakis, publiée aux éditions Héliotrope. au cœur de Montréal. L’auteure a par ailleurs vu ses livres récompensés de plusieurs prix par le passé, y compris le Prix des libraires, le Grand Prix du livre de Montréal, le Prix littéraire des collégiens et le prix Victor-Barbeau.


Nuits d’Afrique – bilan

100 concerts et activités, 600 artistes de 35 pays

Avec une augmentation de 46% de ventes à la billetterie, Nuits d’Afrique réussit franchement mieux que d’autres festivals qui sont devenus à courte vue et qui croient, par habitude et par standing vastement subventionné mais borné sur le dos des autres souvent meilleurs, que tout leur est dû à eux seuls. De fait, les différents niveaux de gouvernement doivent cesser de donner majoritairement, millions après millions, aux événements proches du milieu de la construction, et les décideurs qu’ils soient en comités toujours les mêmes ou en organisations qui se relaient ou à l’unité, se déplacer eux-mêmes pour voir de visu que le Festival International Nuits d’Afrique est un Grand Festival multi-générationnel où se produisent autant des formations de musiques traditionnelles world de vastes horizons que des bands jeunes qui font danser les jeunes dans les boîtes du monde. De fait, ce n’est pas parce qu’un fonctionnaire ou un politique a l’usage de budgets qui le dépassent que cet argent leur appartient. Il ne faut certainement pas oublier que l’argent public est le fruit de taxes et impôts payés par la population et qu’il n’appartient pas en propre auxdits fonctionnaires et politiciens. Il y aurait vraisemblablement lieu de revoir tout ça et de cesser de privilégier des événements bourreaux adulés par habitude qui ne présentent plus grand intérêt mais qui demeurent subventionnés comme s’ils étaient une merveille du monde.

Bref, Nuits d’Afrique mérite des subventions et un marketing à sa hauteur, de même que des visites d’officiels qui puissent enfin se rendre compte par eux-mêmes de l’universalité de ce Grand Festival qui assure à Montréal et au Québec et au Canada une magnifique visibilité dans le monde entier (oui, oui, cette année il y avait même une formation reggae chinoise).

Sinon, si les décideurs budgets en poches s’entêtent obstinément à maintenir les subventions de millionnaires aux millionnaires par habitude, on pourrait croire à de la mauvaise foi et qu’ils sont corrompus, non ?


FFM

Festival des films du monde, Montréal, du 21 août au 1er septembre 2014

Festival des films du monde, Montréal, du 21 août au 1er septembre 2014

A-t-on encore droit à son opinion ?
Scandale à Montréal à propos des subventions. Le Festival des Films du Monde, qui présente chaque année une panoplie de films souvent encore jamais présentés, films qui ne prennent jamais l’affiche parce qu’ils sont trop sublimes pour être commerciaux, se voit encore une fois victime, exclu de subventions pourtant payées par la population laquelle n’a pas son mot à dire.

Forcer la main en mettant à l’écart
C’est une forme de mobbing, tout ça. Mobbing de la part des proches de la construction et des sociétés qui font trop d’argent parce qu’elles ne paient pas leurs impôts / taxes / électricité à un niveau équitable à la barbe de la population toujours plus appauvrie et qui veulent interdire d’évoluer de manière universelle… À quand la Commission Charbonneau dans la culture ?

http://www.lapresse.ca/opinions/201407/14/01-4783837-jaccuse-lettre-ouverte-aux-institutions-a-lecoute-de-monique-simard.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4783932_article_POS1

Voir aussi l’article du journal Le Devoir sur la page FB du FFM :
https://www.facebook.com/pages/FFMMontreal#!/FFMMontreal

http://www.ffm-montreal.org/

 


Nuits d’Afrique : Ernesto Dabo

Un concert d’Ernesto Dabo, c’est comme se laisser retransporter dans nos plus belles vacances tropicales. Et les chansons d’Ernesto Dabo sont une douce brise sous les palmiers sur une plage enchanteresse. Ernesto Dabo chante tout doucement avec son coeur, même quand il s’amuse à comparer la justice à une saucisse (Justiça) ou quand il rend hommage à ceux qui ont été tués pour acquérir la liberté dans son pays d’origine, la Guinée-Bissau.

Ernesto Dabo a  par ailleurs réussi une musique fusion infiniment aboutie entre des percussions traditionnelles québécoises et les percussions africaines douces, traditionnellement saudadiennes, accompagnées de guitares occidentales incluant une basse et de la kora montréalisée de Zal Sissokho… le tout combiné donne des chansons rythmées dans la plus joyeuse fête presque caribéenne calypso et inversement de la musique toute accordée en un doux mélange innovant et inspiré du chanteur qui a maintenant ses pénates à Montréal. C’était absolument fabuleux ! Un concert à revivre ! Énormément de talents réunis et de chaleur humaine !

Ernesto Dabo,  Festival International Nuits d'Afrique, Club Balattou,  Montréal, 13 juillet 2014

Ernesto Dabo, Festival International Nuits d’Afrique, Club Balattou, Montréal,
13 juillet 2014

Ernesto Dabo,  Festival International Nuits d'Afrique, Club Balattou,  Montréal, 13 juillet 2014

Ernesto Dabo, Festival International Nuits d’Afrique, Club Balattou, Montréal,
13 juillet 2014

 


3 vies contre 3 paquets de cigarettes

Récit de vie, force, courage, résilience, émigration, pardon, éducation, survie, beauté et laideur du monde, Afrique, Rwanda, Suisse, Montréal

Trois vies contre trois paquets de cigarettes, de Marie-Fidèle Mukandekezi, , l'épreuve d'une femme rwandaise

Trois vies contre trois paquets de cigarettes, de Marie-Fidèle Mukandekezi,
l’épreuve d’une femme rwandaise, publié au Dauphin blanc.

Dans sa façon de raconter son histoire, Marie-Fidèle Mukandekezi nous décrit aussi son Afrique, son pays natal si beau qui fut ravagé apparemment au départ par un autre fils du pays revenu y faire la guerre et la vengeance. Tour à tour, elle explique les moeurs du Rwanda entrelaçant aux us et coutumes les beautés du pays ainsi que le malheur et l’épreuve qu’elle y a subis, dans un français livresque appris avec la grande application de quelqu’un qui aime et apprécie infiniment l’école pour les portes qu’elle ouvrira plus tard.

Ce livre est beau, triste, émouvant, touristique, joyeux, tragique, pacifique malgré la guerre… C’est la vie… C’est sa vie.

C’est une belle belle belle lecture à vous offrir d’autant plus que l’auteure raconte simplement avec de nombreux reculs explicatifs. Elle ne pointe jamais personne du doigt comme étant responsable ni ne s’étend sur les monstruosités. Marie-Fidèle raconte dans la paix de son âme et dans l’amour de ce qui a été beau, normal, étonnant, troublant, observé, vécu, surpassé.

C’est un livre que certainement je relirai, un peu comme on retrace ses bulletins de notes d’enfance ou qu’on regarde des photos de jadis. L’auteure est sortie d’un moule aussi unique que fort.

Marie-Fidèle Mukandekezi a été élevée à l’africaine dans une famille catholique de 11 enfants dont elle est la septième ; elle a fait un mariage d’amour avec un musulman, ce qui lui a valu les affres de l’église catholique. Son mari fut tué lors du génocide alors qu’ils avaient tant travaillé pour emménager dans une maison sécuritaire. À Kigali, elle travaillait pour un organisme suisse, elle qui fut la seule de sa famille à être allée à l’université. Elle est aujourd’hui une femme prospère à Montréal où elle vit avec ses deux enfants devenus adultes et aux carrières passionnantes. On trouve des photos au coeur de son livre témoignage. Un livre qui fait chaud au coeur, le livre inspirant d’une survivante. Les chapitres de ce petit chef d’oeuvre pour la paix sont courts, permettant de prendre nos propres reculs ou de continuer notre lecture en fonction du temps disponible. Mais je vous promets que vous ne devriez pas tarder à en parcourir toutes les pages.

CITATIONS / EXTRAITS

« Ce ne sera que plus tard, à Montréal, que je ferai cette agréable découverte qui changera le cours de ma vie. » (p. 59)

« Notre stratégie était en fait une politique d’autruche. » (p. 59)

« Tous les militaires n’ont pas tué. » (p. 104)

« Que ce soit par une justice équitable ou un partage du pouvoir, la vraie réconciliation des Rwandais devra prendre source au fond de chaque individu, au fond de chaque coeur à l’écoute de cette voix intérieure qui ne trompe jamais. » (p. 131)

« Ainsi fut mon premier rendez-vous avec bébé neige. L’adulte, la vraie neige, m’attendait à Montréal, des années plus tard. » (p. 116)

Trois vies contre trois paquets de cigarettes, de Marie-Fidèle Mukandekezi, est publié au Dauphin blanc. Une partie des droits d’auteur pour ce livre iront à Gratitude universelle.


ULYSSE Raquette et ski de fond au Québec

Avec la neige trépignent les orteils pour aller profiter des sports d’hiver. Et sortir au grand air entre amis ou en famille sans que cela coûte trop cher, c’est en raquettes et en ski de fond que ça se passe.

Pour bien planifier ses sorties, le nouveau guide Ulysse vous permettra de prendre l’air sainement, à Montréal comme à la campagne. Imaginez une belle journée d’hiver, ciel bleu, neige blanche… Et voici le guide pour vous aider à trouver les plus beaux endroits pour partir en randonnée, partout au Québec.

Le guide ULYSSE Raquette et ski de fond au Québec, 6e édition revue et bonifiée fournit des informations sur plus de 200 centres de ski et autres lieux de sports d’hiver indiquant les services offerts et longueurs des sentiers. Le guide consacre 60 de ses premières pages à de l’information technique sur les gestes à poser dans les montées, les descentes et virages, les différents pas du ski de fond comme le virage télémark de même que l’alimentation comme les besoins quantitatifs en nourriture ainsi que l’eau, sans oublier la lecture des cartes et la température.

Le guide ULYSSE Raquette et ski de fond au Québec, 6e édition revue et bonifiée

Le guide ULYSSE Raquette et ski de fond au Québec, 6e édition revue et bonifiée

EXTRAIT

On peut apprécier dans l’extrait suivant (p. 198 du guide) toute l’information détaillée que l’on peut trouver dans ce nouveau guide ULYSSE sur le ski de fond et la raquette avec reliure boudinée facile à manipuler avec signet intégré par une couverture élargie sur laquelle se trouve une carte ainsi qu’une liste de coups de coeur :

« Parc du Mont-Royal […]
Location : raquettes, skis de fond, patins
Autres activités : patin, marche hivernale (8,3 km), glissade, sorties guidées
Raquette
Longueur des parcours : 3 km
Randonnée hors piste : oui
Tarif : gratuit
Ski de fond
Longueur des parcours : 20 km
Pas de patin : 4,2 km
Abris, relais, refuges : pavillon du Lac-aux-Castors, chalet du Mont-Royal et maison Smith
Tarif : gratuit
Réseau : 7 sentiers, dont 5 pour le pas classique (1,5 km; 1,4 km; 2,2 km; 4,4 km et 5,3 km) et 2 pour le pas de patin (2,9 km et 1,3 km) »

Le guide ULYSSE Raquette et ski de fond au Québec, 6e édition revue et bonifiée  est disponible en plusieurs versions :

Version papier : 272 pages, 18 cartes, 24,95$
Version numérique : 18,99$
Chapitres numériques : à partir de 1,99$

Disponible dans toutes les librairies et les librairies numériques.
Aussi disponible dans les deux librairies de voyage Ulysse à Montréal
(4176, rue Saint-Denis et 560, avenue du Président-Kennedy), ainsi que partout et en tout temps sur www.guidesulysse.com.

Ulysse, le plus grand choix de guides de voyage et de plein air !


SLM Rencontres video

Rencontres d’auteurs et d’éditeurs au Salon du livre de Montréal
VIDÉOS Playlist

par ordre alphabétique

Francine Blanchette : La Pierre aux Fées (Vues et Voix)

Anabelle Boyer, L’ange gardien du Samouraï et Je lis en vous… savez-vous lire en moi ?  Synergologie : analyse du non-verbal (Béliveau éditeur)

Rencontre avec Robert Blake (en français) Le Voyage, Kaya, Le bleu de l’espoir, Jack et Koukie (Les éditions 9e Jour)
Robert Blake (en anglais) Paola’s Journey, Jack and Koukie (9th Day Publishing)

Christian Brien, Joe Hamster (AQEI)

Canal M, radio Internet et câble pour malvoyants

Melanie Carpentier : J’ai été une esclave sexuelle, Se sortir des gangs de rue (Béliveau éditeur)

Elisabeth Cerqueira, Savoir quoi manger : Arthrite et Inflammation, 21 jours de menus
Co-auteure : Marise Charron, nutritionnistes-diététistes (Modus Vivendi Cuisine)

Pierrette Daviau : Femmes artisanes de paix (Religion et Société)

Andrée Décarie, Alice au pays des cyber criminels (AQEI)

Louise Desautels
, Si j’avais su… témoignage S’ouvrir pour prévenir le suicide (AQEI)

Félix Descorbeaux, poésie d’horreur (AQEI)

François Dimitri : Les mauvaises langues (Béliveau éditeur)

Christine Dubois : Partie pour la gloire (Béliveau éditeur)

Gilles Gagnon, Gouverner avec équité, Comment mettre fin à la manipulation,
Constats et Solutions
(AQEI)

Evelyne Gauthier, Ariel à l’école des espions, Mathématiques et bombes (Guy Saint-Jean éditeur)

Nicole Gobeil : Le Journal des écrivains de la liberté (AQEI)

Marie Gray, Frédérick (Guy Saint-Jean éditeur)

Martial Grisé et Maryse Pepin, SEYRAWYN, trilogie médiévale québécoise complète (McGray)

Renaud Hentschel : On ne change pas en restant les mêmes (Performance éditions)

France Hutchison : 100 jeux avec NAMASTÉ (Béliveau éditeur)

Alain Lafond : L’Incréé (Éditions Onirium, AQEI)

Lise Lalonde, Les agresseurs et leurs victimes (Performance éditions)

Pierre Lambert, Ozias Leduc (Marcel Broquet, la nouvelle édition)

Carine Paquin, L’accouchement : pour tout savoir AVANT !  (Fontea)

Maryse Pepin et Martial Grisé, SEYRAWYN, trilogie médiévale québécoise complète (McGray)

Dav Pilkey, author of Captain Underpants (Scholastic)

Rosette Pipar : Poèmes à croquer (Marcel Broquet, la nouvelle édition)

André Pronovost

Johanne Raby : Chanter de tout son corps 

Agnès Reynaud, Le crack : les cailloux de l’enfer, récit d’une ex-toxicomane (Béliveau éditeur)

Marthe Saint-Laurent : 50 questions sur le BOTOX, 50 questions sur les IMPLANTS MAMMAIRES (Béliveau éditeur)

Joanne Simon : Millionnaire et célibataire (Béliveau éditeur)

Louise Tremblay-D’Essiambre, Les héritiers du fleuve (Guy Saint-Jean éditeur)

Gisèle Villeneuve : Outsiders, recueil de nouvelles (Lévesque éditeur)

Mario Villeneuve : Dieu est au MacDo . Découvrir son propre bonheur et le propager (Béliveau éditeur)

Vues et voix, Canal M, pour malvoyants

Rencontres au SLM VIDÉOS Playlist