Sound of Tears est l’histoire d’une femme qui doit «choisir» entre le mariage forcé et l’homme qu’elle aime. En fait, elle n’a pas le choix, c’est un peu comme ici la religion des festivals qui impose une certaine propagande, contrôlée par un petit nombre : ceux et celles qui n’adhèrent pas ou qui ne sont pas des marionnettes de famille adulée sont assassinés.
C’est une «question d’honneur»
Dans Sound of Tears, la jeune femme subit le crime d’honneur, elle est tuée par ses père et frères qui intolèrent sa curiosité du monde dans lequel elle vit depuis que la famille a émigré dans un pays soi-disant libre de religion, pays qui irait peut-être jusqu’à croire que c’est l’amant qui a tué sa femme sauf que le film ne se rend pas jusqu’à l’enquête. Il s’arrête aux hommes et aux femmes de famille qui reprochent à la jeune femme universelle de vouloir regarder plus large et plus vaste que le martèlement obligé.
Dans Sound of Tears, la jeune femme subit le crime d’honneur, elle est tuée par ses père et frères qui intolèrent sa curiosité du monde dans lequel elle vit depuis que la famille a émigré dans un pays soi-disant libre de religion, pays qui irait peut-être jusqu’à croire que c’est l’amant qui a tué sa femme sauf que le film ne se rend pas jusqu’à l’enquête. Il s’arrête aux hommes et aux femmes de famille qui reprochent à la jeune femme universelle de vouloir regarder plus large et plus vaste que le martèlement obligé.